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Windows 7 sera officiellement lancé le 22 octobre
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Windows 7 sera officiellement lancé le 22 octobre
Microsoft a dévoilé le calendrier de lancement de son nouveau système d'exploitation, Windows 7. Le successeur de Vista sera disponible le 22 octobre prochain – une sortie attendue –, en version boîte et sur les PC des constructeurs, dans les circuits de distribution grand public et professionnel.
La RTM (Release to manufacturing) sera livrée aux fabricants « pendant la seconde quinzaine de juillet ». La bêta de Windows 7 avait été proposée en version publique en janvier dernier, suivie d'une Release candidate en avril. Microsoft indique que « plus de 99 % des pilotes logiciels disponibles sur Vista SP1 sont déjà compatibles avec Windows 7. De plus, des milliers de fabricants testent activement leurs produits sur Windows 7 et ont déjà manifesté leur satisfaction. »
Rien sur les tarifs
L'éditeur indique que les utilisateurs qui acquerront un PC sous Windows Vista (1) qui participe au programme « Garantie technologique » recevront une licence Windows 7 durant l'automne, « moyennant des frais de traitement et modalités fixés par les fabricants et distributeurs ». Sans plus de précisions pour le moment.
A l'occasion de l'annonce de cette sortie officielle, Microsoft a confirmé que l'édition Starter, destinée aux netbooks, ne se limitera pas à l'exécution de trois applications. En revanche, la firme ne donne à ce stade aucune précision sur les tarifs des différentes versions du nouvel OS, un facteur qui pourrait pourtant être crucial pour le succès du nouveau Windows
Dernière édition par Mimi le Martien le Sam 18 Juil - 12:32, édité 2 fois
Re: Windows 7 sera officiellement lancé le 22 octobre
Microsoft livrera Windows 7 sans Internet Explorer
Le géant américain espère répondre aux exigences de Bruxelles qui enquête actuellement sur une éventuelle position dominante de Microsoft dans le domaine des navigateurs.
L’Europe aura Windows 7 sans Internet Explorer. Microsoft a annoncé jeudi qu’il commercialisera son nouveau système d’exploitation sur le vieux continent sans son navigateur intégré. Résultat : les utilisateurs de Windows 7 « E », la version européenne, devront installer eux-mêmes un navigateur Internet de leur choix sur leur ordinateur. Une démarche visant avant tout à satisfaire Bruxelles, qui enquête actuellement pour voir si Microsoft «a agi de façon abusive» en intégrant systématiquement depuis 1996 Internet Explorer à son système d’exploitation Windows. Cette investigation faisait suite à la plainte que le norvégien Opera Software avait déposé contre Microsoft en décembre 2007. Selon la Commission, Microsoft pourrait avoir accordé à son navigateur un avantage déloyal par rapport à ses concurrents, comme Firefox ou Opera. En janvier, elle avait déjà transmis une «communication de griefs» au géant américain des logiciels, en mettant l’accent sur la nécessité d’offrir un plus grand choix aux clients.
La Commission européenne sceptique
Après l’annonce de Microsoft, la Commission européenne a souligné quelques avancées du côté du géant de Redmond, non sans cacher une certaine perplexité. «La proposition de Microsoft est potentiellement plus positive», puisqu’«il semble que les fabricants pourraient choisir d’installer eux-mêmes Internet Explorer, un autre navigateur, ou plusieurs navigateurs» indique Bruxelles. Toutefois, la Commission précise que si l’enquête conclut à un comportement abusif de Microsoft, «les remèdes potentiels seraient de permettre d’avoir un choix de navigateurs, pas que Windows soit fourni sans aucun navigateur». Si l’abus est constaté, elle devra donc examiner «si cette proposition suffit à elle seule pour créer un choix suffisant sur le marché des navigateurs». Elle «prendrait en compte entre autres la durée du comportement de Microsoft». Bruxelles a indiqué qu’elle rendra bientôt son verdict.
Microsoft, dans le collimateur des autorités de régulation
Le géant de Redmond a donc préféré éteindre la mèche plutôt que le feu. Il faut dire que la dernière infraction en date lui avait coûté cher. En Europe, l’éditeur s’était vu infliger en mars 2004 par Bruxelles une amende de 497 millions d’euros à propos d’un litige portant sur son logiciel de lecture multimédia. Le groupe avait alors été obligé de livrer une version de Windows sans MediaPlayer. En septembre 2007, la Cour européenne de justice avait confirmé cette condamnation. La note avait même par la suite été alourdie en raison du manque de coopération de Microsoft, passant à un total de 1,676 milliard d’euros. Le groupe fondé par Bill Gates a néanmoins fait appel pour une partie de cette amende qui est actuellement en cours d’examen.
La décision de Microsoft vise donc avant tout à éviter tout déboire judiciaire, à un moment où la concurrence fait rage sur le marché des navigateurs. Internet Explorer ne cesse en effet de perdre du terrain face à ses concurrents. D’après la société d’études NetApplications, la part de marché d’IE est passée de 76% en 2007 à 66% aujourd’hui. Une progression qui profite en premier lieu à Firefox, son principal concurrent. Mozilla devrait bientôt d’ailleurs publier la version 3.5 de son logiciel phare, tandis que Google promeut son navigateur maison, Chrome, lancé en septembre dernier.
Le géant américain espère répondre aux exigences de Bruxelles qui enquête actuellement sur une éventuelle position dominante de Microsoft dans le domaine des navigateurs.
L’Europe aura Windows 7 sans Internet Explorer. Microsoft a annoncé jeudi qu’il commercialisera son nouveau système d’exploitation sur le vieux continent sans son navigateur intégré. Résultat : les utilisateurs de Windows 7 « E », la version européenne, devront installer eux-mêmes un navigateur Internet de leur choix sur leur ordinateur. Une démarche visant avant tout à satisfaire Bruxelles, qui enquête actuellement pour voir si Microsoft «a agi de façon abusive» en intégrant systématiquement depuis 1996 Internet Explorer à son système d’exploitation Windows. Cette investigation faisait suite à la plainte que le norvégien Opera Software avait déposé contre Microsoft en décembre 2007. Selon la Commission, Microsoft pourrait avoir accordé à son navigateur un avantage déloyal par rapport à ses concurrents, comme Firefox ou Opera. En janvier, elle avait déjà transmis une «communication de griefs» au géant américain des logiciels, en mettant l’accent sur la nécessité d’offrir un plus grand choix aux clients.
La Commission européenne sceptique
Après l’annonce de Microsoft, la Commission européenne a souligné quelques avancées du côté du géant de Redmond, non sans cacher une certaine perplexité. «La proposition de Microsoft est potentiellement plus positive», puisqu’«il semble que les fabricants pourraient choisir d’installer eux-mêmes Internet Explorer, un autre navigateur, ou plusieurs navigateurs» indique Bruxelles. Toutefois, la Commission précise que si l’enquête conclut à un comportement abusif de Microsoft, «les remèdes potentiels seraient de permettre d’avoir un choix de navigateurs, pas que Windows soit fourni sans aucun navigateur». Si l’abus est constaté, elle devra donc examiner «si cette proposition suffit à elle seule pour créer un choix suffisant sur le marché des navigateurs». Elle «prendrait en compte entre autres la durée du comportement de Microsoft». Bruxelles a indiqué qu’elle rendra bientôt son verdict.
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Le géant de Redmond a donc préféré éteindre la mèche plutôt que le feu. Il faut dire que la dernière infraction en date lui avait coûté cher. En Europe, l’éditeur s’était vu infliger en mars 2004 par Bruxelles une amende de 497 millions d’euros à propos d’un litige portant sur son logiciel de lecture multimédia. Le groupe avait alors été obligé de livrer une version de Windows sans MediaPlayer. En septembre 2007, la Cour européenne de justice avait confirmé cette condamnation. La note avait même par la suite été alourdie en raison du manque de coopération de Microsoft, passant à un total de 1,676 milliard d’euros. Le groupe fondé par Bill Gates a néanmoins fait appel pour une partie de cette amende qui est actuellement en cours d’examen.
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